La lecture rend l'âme paisible.

La lecture rend l'âme paisible.

Ne m'abandonnes pas, tendre amie

 Sous la tiède pâleur de la lune qui se lève ;

 

tu as marqué mon cœur de tes lèvres.

 

Dans ma vie de solitude, tu as su redonner la lumière à mon âme.

 

Tu as sorti de l’enfer mon cœur entouré de flammes.

 

Tu pars vivre ailleurs, toi qui fus ma vie.

 

Tu vas chercher d’autres lieux, toi mon amie.

 

S’en sont fini les pleurs et les désamours ;

 

recueillons dans nos cœurs le bonheur pour toujours.

 

Je rêve d’un amour qui ne doit jamais finir ;

 

sans toi ma vie sera triste à en mourir.

 

Mon cœur plongera dans une tristesse profond ;

 

je serai seul au monde.

 

Je serais prisonnier de la vie que tu m’as laissée.

 

Ton visage hantera mes nuits angoissées.

 

Le jour mon cœur doute et murmure encore ;

 

mais dans la nuit des songes, je voudrais le voir éclore ;

 

comme des larmes d’or qui de mon cœur s’égouttent.

 

Larmes de mon bonheur vous tombez toutes.

 

Je veux mourir d’aimer ! Je souffre.

 

Mon cœur est triste et vide comme un gouffre.

 

Même si nous sommes allés trop loin ;

 

souviens-toi de ce qui nous retient.

 

Aimons-nous encore une fois et souviens-toi ;

 

qu’il n’y a que toi qui comptes pour moi…

 

Diawara Wali 



16/09/2015
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