La lecture rend l'âme paisible.

La lecture rend l'âme paisible.

Ou le corps ou la raison ou l'âme

Il est là, ahurant sur ce corps qu'il achëte,

Aux bouges et aux bordels, il trouve le plaisir,

Que sa compagne âgée ne peut plus lui offrir,

L'amour à la maison n'ètant plus de sa quête.

 

 

S'il est pris de remords, il ne le montre pas,

Quand aux besoins du corps, il succombe à nouveau,

Son appetence alors se met au caniveau,

Même si c'est salé, il lui faut ce repas.

 

 

Mais lorsqu'il a fini, refermé sa braquette,

Qu'il se retrouve seul sur le froid du trottoir,

L'amour s'est envolé avec son désespoir,

L'esprit reprend alors une place dans sa tête.

 

 

Il achete une rose avant d'aller chez lui,

Ce remords est subtile, parfois très delicat,

Pour sa femme qui voit que la fleur et le fruit,

Affaiblissent son espoir d'aimer, le peu qu'il soit

 

 

Là oú les sentiments ont remplacé l'amour,

Elle a su faire face en fermant les yeux,

Et sur la cheminée, la rose aux envieux,

Est un joli clin d'œil pour tous les troubadours.

 

........................W/D.......................



19/02/2014
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 5 autres membres