La lecture rend l'âme paisible.

La lecture rend l'âme paisible.

Je désire Tant une femme !

J’aime tant une femme aux grâces très câlines

que je lui ai écrit trois cents pages de vers

qui disent la folie où mes désirs m’inclinent :

avec elle, j’ai vu le ciel bleu grand ouvert.

 

Nous avons tous les deux goûté aux chatteries

que l’on peut explorer en unissant nos mains,

le miel de nos baisers, toutes les féeries

résidant dans l’étreinte et les attraits humains.

 

Les charmes de son corps me font aimer la vie.

Pour moi seul chaque soir, ôtant ses vêtements,

elle écarte ses bras et d’un regard convie

un homme très chanceux à de doux traitements.

 

Les courbes des collines et les fesses charnues

sont des invitations à caresser toujours

son paysage doux aux ondulations nues

qui se donnent au toucher, aux sinueux détours.

 

Il y a tant de joie dans une union charnelle

où l’être féminin s’expose, ensorcelant,

que je veux proclamer de façon solennelle :

il n’est de vérité que dans un lien galant.

 

Amis, levons nos verres ! Aimez-vous vos compagnes

assez pour accepter de mourir quelque jour ?

Quoi ? Ces mots sont tabous ? Ainsi, la peur vous gagne !

Croyez-vous donc si peu aux forces de l’amour ?

 

Ne savez donc vous pas que la vie nous pardonne

nos faiblesses intimes et autres transgressions ?

Il suffit pour cela qu’une femme se donne :

le sexe est transcendant, ainsi vont les passions.

 

Foin de la mièvrerie ! Je propose qu’on baise

et qu’on rebaise encor jusqu’à l’épuisement.

Ma dulcinée et moi faisons, ne vous déplaise,

l’amour plus que souvent, voluptueusement !

 



26/01/2017
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 5 autres membres